Je viens de lire A Mélie,sans mélo de Barbara Constantine.
Une histoire pleine de tendresse, d'humour et d'amour, avec des personnages attachants. L'écriture est agréable, le style est simple. Un livre qui nous ouvre les portes du bonheur. A conseiller, pour les jours de déprime !
En voici la quatrième de couverture : Mélie, soixante-douze ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer toutes les vacances d'été chez elle. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu'elle a un problème de santé... Elle verra ça plus tard. La priorité, c'est sa Clarinette chérie ! Mélie, le mélo, c'est pas son truc. Elle va passer l'été (le dernier ?), à fabriquer des souvenirs à Clara. Des rigolos. Comme regarder pousser les bambous en écoutant la Traviata, chanter sous la pluie des chansons de Nougaro, goûter les mauvaises herbes qui poussent le long des chemins. Il y a aussi... le vieux Marcel qui va apprendre à Clara à faire de la mécanique, Fanette, sa mère, qui va lui trouver un beau-père ; Bello, son parrain, qui va agrandir sa bande de filleuls musiciens. Et puis, comme la vie est vraiment dingue des fois, il y a Mélie quoi va enfin rencontrer le grand amour... 150 ans à eux deux ? Mais quand on aime, on ne compte pas !
Barbara Constantine est scripte, céramiste et romancière. Elle vit en région parisienne, mais descend le plus souvent possible dans le Berry (si cher à mon coeur, je suis mi-berrichonne du côté paternel) pour y planter des arbres (des cerisiers, des pruniers...), retaper des granges en ruine, écouter les rossignols délirer les nuits d'été et, surtout, passer un maximum de temps à regarder vivre ses chats, Alcide Pétochard (gentil chamallow) et Pétunia Trouduc (comme son nom l'indique). A Mélie, sans mélo est son deuxième roman, après Allumer le chat, publié en 2007.
Et puis, il y a le chaton Léon. Chapitre 44, on y apprend à dessiner un chat, rien qu'avec des guillemets, des tirets, des apostrophes, des points, des parenthèses !! Mignon, non ?