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  • kimcat
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats
 j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...)
 j'ai écrit un roman " LISABELLE "
 Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...) j'ai écrit un roman " LISABELLE " Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...

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 Mon roman :  LISABELLE
 (mars 2008)
 http://lisabelle.briot.free.fr/

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http://portaildulivre.com


Mon 2e Blog : link

 

http://kimcat1b58.eklablog.com/ 

3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 10:00

pic-noir-frank-vassen-wikimedia.jpg

     Pic noir (Auteur photo Frank Wassen -Wikimedia)

Le Pic noir est le plus grand des Pics européens. Il se distingue autant par sa taille (51 cm) que par son beau plumage noir orné d'une calotte rouge (plus petite chez la femelle). Autrefois limité aux forêts de montagne, cet oiseau insectivore, au tambourinage très sonore contre les troncs d'arbres,  est visible aussi en plaine (notamment dans celle de la Garonne), sans qu'on puisse en expliquer la raison.

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2 novembre 2012 5 02 /11 /novembre /2012 10:02

tom-jerry6.jpg

A regarder  sans modération ! ! ! Pour petits et grands... TOM & JERRY. Régalez-vous avec ce dessin animé !

http://www.youtube.com/watch?v=YANcDicCdqg

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 10:00

odyssée homère

Histoire d'un félin intrépide ou comment j'ai beaucoup appris sur l'Amour et la Vie avec un merveilleux Chat aveugle.

Gwen Cooper

J’ai ajouté  L’odyssée d’Homère  à ma bibliothèque féline et croyez-moi, je ne le regrette pas. Si vous aimez les chats, ce livre est pour vous ! C'est un bijou !

En voici la 4e de couverture :

Comment un chat peut-il redonner à quelqu'un l'envie de vivre ? C'est cette magnifique histoire, la sienne, que raconte dans ces pages Gwen Cooper. Fraîchement séparée, habitant chez une amie en attendant de trouver un appartement et dans une situation financière précaire, Gwen n'avait vraiment pas besoin de l'arrivée d'un chat ! Pourtant, le petit félin aveugle qui entre dans sa vie la bouleverse irrémédiablement... Gwen l'appelle Homère, car, comme le poète aveugle, c'est un créateur d'histoires, tour à tour casse-cou, courageux, tendre et intrépide. Attendrissant et fascinant. Homère inspire et transforme la vie de tous ceux qu'il rencontre. À son contact, ils réalisent que l'amour et le bonheur n'ont que faire des apparences et du regard des autres. Et que chaque petit moment vaut vraiment la peine d'être vécu...

Gwen Cooper est l'auteur de plusieurs romans et documents. Elle vit aujourd'hui avec son mari et ses trois chats à New York et se consacre à des oeuvres caritatives.

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 16:49

gloria-west-halloween-kitty.jpg

            Tableau de Gloria West "Halloween Kitty"

Une jolie carte "Challoween" de Jacquie Lawson à regarder ici

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 10:00

jonathan barry Aslan's return 2006

     Tableau de Jonathan Barry Aslan's return 2006

Cher(e)s copinautes je vous propose de lire le texte que j'ai écrit  pour la Petite Fabrique d'Ecriture

(Participation au jeu d'octobre "Rencontre")

http://azacamopol.over-blog.com/article-jeu-du-mois-d-octobre-2012-110741084.html

J’étais au départ l’auteure qui avait souhaité ajouter à son palmarès une séance de dédicace dans une grande librairie renommée du centre-ville de Limoges ; je croyais avoir frappé à la bonne porte  pour attraper des crampes au poignet à signer des autographes à qui mieux-mieux, sur des dizaines d’exemplaires de mon roman. Bien loin de tout ça !  J’avais tout faux et je barbotais dans le bonheur ! J’étais dans les courants d’air, larguée entre deux portes coulissantes qui s’ouvraient et se fermaient au rythme endiablé des allées-venues d’une clientèle indifférente à ma présence, et mon bel enthousiasme était retombé comme un soufflé au fromage trop cuit. J’imaginais le dôme doré dans la cassolette de grès, qui s’affaissait lentement et attisait déjà ma faim de lionne. Je savais que je n’avais aucune illusion à me faire, d’autant que personne ici, n’avait feuilleté une seule page de mon livre pour le mettre à l’honneur. Tout comme j’étais certaine d’une chose : le samedi suivant, la libraire BCBG ne manquerait pas de déplier le tapis rouge devant les pieds d’une célèbre écrivaine qui allait, elle, faire du chiffre… Moyennant quoi, j’en étais réduite à quémander un café ; pourtant, il aurait été bien sympathique de me l’offrir d’office. Je broyais un peu du noir mais  ce n’était pas parce que j’étais considérée comme une scribouillarde de quarante-troisième ordre, qu’il fallait me laisser abattre ! Je n’avais pas à me plaindre, j’avais de quoi m’occuper l’esprit. Il y avait une ribambelle de livres sur les étagères qui me permettraient de m’évader à titre gracieux. Mes yeux, attirés comme des aimants, se posèrent sur « Le Lion » de Joseph Kessel, ce livre paru l’année de ma naissance et qui avait tant marqué mes douze ans. Je saisis précautionneusement le livre tel un objet rare et précieux… Les années avaient passé mais je me replongeai avec le même émerveillement dans ce parc royal du Kenya où les animaux vivaient en liberté et dans une totale sécurité. Dans un rêve éveillé, je me glissai entre les pages du chef-d’œuvre de Joseph Kessel pour y rencontrer Patricia, petite fille de dix ans et King, le lion qu’elle avait recueilli et élevé :

En ces quelques instants, l’aube tropicale… avait fait place à l’aurore… Tout brillait, étincelait, scintillait… Les neiges du Kilimandjaro traversées de flèches vermeilles… J’entendis Patricia m’appeler… Un seul arbre s’élevait… Dans son ombre, un lion était couché sur le flanc. Un lion dans toute la force terrible de l’espèce et dans sa robe superbe. Le flot de la crinière se répandait sur le mufle allongé contre le sol. Et entre les pattes de devant, qui jouaient à sortir et à rentrer leurs griffes, je vis Patricia. Son dos était serré contre le poitrail du grand fauve. Son cou se trouvait à portée de la gueule entrouverte. Une de ses mains fourrageait dans la monstrueuse toison. « King le bien nommé. King le Roi. » Telle fut ma première pensée… Le lion releva la tête et gronda. Il m’avait vue… Le grondement mourut peu à peu… « Faites un pas », me dit la voix insonore. J’obéis. Le lion demeurait immobile. Mais ses yeux, maintenant, ne me quittaient plus… Je venais de faire un pas de plus. A présent, si je tendais le bras, je touchais le lion. Il ne gronda plus cette fois, mais sa gueule s’ouvrit comme un piège étincelant et il se dressa à demi. « King ! cria Patricia. Stop, King ! »… Le lion tourna la tête vers la petite fille, battit des paupières et s’allongea tranquillement. « Votre main, vite », me dit Patricia. Ma paume se trouva posée sur le cou de King… Je continuai à caresser rudement  la  peau fauve… (Je sentis sous ma main les muscles énormes et noueux onduler)… Je vis dans le regard que le grand lion du Kilimandjaro tenait fixé sur moi, je vis passer des expressions… qui appartenaient à mon espèce que je pouvais nommer une à une : la curiosité, la bonhomie, la bienveillance, la générosité du puissant… Et que l’échange, la familiarité qui s’établissaient entre le grand lion et l’homme montraient qu’ils ne relevaient pas chacun d’un règne interdit à l’autre… Fascinée et seulement à demi conscience de mes gestes, je me penchai sur le mufle royal et, comme l’avait fait Patricia, j’effleurai du bout des ongles le triangle marron foncé qui séparait les grands yeux d’or. Un frisson léger courut dans la crinière de King. Ses pesantes babines frémirent, s’étirèrent… La gueule s’entrouvrit, les terribles crocs brillèrent doucement… Alors Patricia me raconta en détail, et avec une nostalgie singulière, comment elle avait soigné, fortifié, sauvé le bébé-lion… Elle voulait me convaincre… que, dans la plénitude de sa force et de sa magnificence, King lui appartenait tout autant qu’à l’âge où, lionceau abandonné, il ne respirait que par ses soins… La petite fille, soudain, plia les genoux, sauta aussi haut qu’elle put et se laissa retomber, les pieds réunis, et d’un élan qui redoublait la violence de sa chute, sur le flan du lion… Puis, elle martela le ventre à coups de poing, à coups de tête… La patte formidable, au lieu de s’abattre sur Patricia et de la mettre en pièces s’approcha d’elle tout doucement, les griffes rentrées, cueillit la petite fille et la coucha par terre avec gentillesse… Patricia chargea de nouveau et King riposta… Il ne se contenta plus d’envelopper de sa patte la taille de Patricia et de la déposer sur le sol. Il la renvoya comme une balle. Chacun de ses coups était un miracle d’élasticité, de mesure et de délicatesse. Il se servait du bout de sa patte ainsi que d’une raquette veloutée et frappait juste assez fort pour faire voler, sans lui infliger la moindre meurtrissure, un corps de petite fille… « Vous pensez que ce lion voudrait me faire mal ?... demanda encore la petite fille… Vous avez tort, dit-elle. Si je le désire, King vous mettra en morceaux tout de suite. On essaie ? »… King se dressa  d’une seule ondulation musculaire. Je ne l’avais pas encore vu debout. Il me parut colossal. Sa crinière était droite et dure. Sa queue lui battait les flancs avec fureur. Ses yeux n’étaient plus d’or, mais d’un jaune glacé. Ses épaules se ramassèrent. Il allait… « Non, King, non », dit Patricia. Elle posa une main sur les narines dilatées par la colère et claqua de la langue plusieurs fois, avec douceur. King retint son élan… « Il vaut mieux vous en aller », reprit gaiement Patricia… Patricia m’expliqua le chemin du retour… Elle sauta sur le dos de King. Je n’existai plus pour eux…

J’avais quitté  la savane africaine… J’étais à nouveau devant ma table de fortune littéraire,  « Le Lion » de Joseph Kessel refermé, dans les murs de cette librairie inhospitalière de Limoges qui n’avait pas su m’accueillir chaleureusement, d’où je m’étais échappée quelques instants. J’avais la tête embrumée mais je savais que grâce au Lion de Patricia, je tenais l’histoire de mon prochain roman. Je voulais effacer la fin tragique du Lion de Joseph Kessel, sécher les larmes de cette étonnante petite fille à la salopette grise,  aux cheveux noirs, au visage rond et hâlé, aux grands yeux bruns et immortaliser son King à tout jamais.

Je lui fis une promesse :

« Ne pleure plus, Patricia. Je reviendrai ! »

 © Béa Kimcat RIOT

Source : Le Lion de Joseph Kessel

http://kimcat1b58.over-blog.com/article-14896817.html

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30 octobre 2012 2 30 /10 /octobre /2012 10:00

richard-ramsey-wphotographycom-4.jpg

                       Tableau de Richard Ramsey

             http://www.ramseyphotography.com/index2.php?v=v1

Un petit film bouleversant de 7 minutes à regarder absolument jusqu'au bout... N'oublions pas ! Les personnes qui se retrouvent à vivre dans la rue sans toit pour les abriter, sont avant tout des êtres humains...

http://www.youtube.com/watch_popup?v=1sgd6NuBq8w&vq=medium#t=

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 10:01

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Dans ce livre publié en 2004, Amélie Nothomb, l'auteur de Stupeur et tremblements  et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l'a conduite la carrière d'un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, Quête perpétuelle d'un accomplissement inaccessible, qui explique autant l'histoire des peuples que celle des individus. Les figures du père, d'une nourrice japonaise, d'une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l'humour noir et la provocation.

Ce livre est un régal ! Je l'ai dévoré avec gourmandise...

Amélie Nothomb est un écrivain belge de langue française. Elle est né le 13 août 1967 à Kobe, au Japon, où son père, le baron Patrick Nothomb, fut ambassadeur de Belgique. Belgique, qu'elle ne connaîtra qu'à 17 ans, pour y terminer ses études de philologie romane à l'Université libre de Bruxelles.

Depuis 1992, Amélie Nothomb publie aux éditions Albin Michel un roman par an. Stupeur et tremblements, roman de son expérience professionnelle au Japon, sera récompensé en 1999 par Le Grand Prix du roman de l'Académie française.

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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 10:00

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Je vous présente un petit film réalisé par une membre de l'association protection animale La ferme des rescapés située dans le Lot, qui lutte contre  toutes les  sortes de maltraitances animales (animaux abandonnés,  malades, âgés, destinés à l'abattoir, retirés d'un cirque...)

http://www.youtube.com/watch?v=KxjF2f9iaKs

Dans la ferme cohabitent plus de 500 animaux : chiens, chats, chevaux, ânes, vaches, moutons, chèvres, cochons, poules, canards, oies, oiseaux, tortues, cochons d'Inde, lapins...

Cette vidéo est aussi un peu une "pub" pour l'asso car celle-ci manque de matériel et de budget 

http://lafermedesrescapes.over-blog.org/pages/Location_dun_gite_a_la_ferme-4304150.html

Merci à Kate des Chats de Mon coeur

http://chatsdemoncoeur.forumactif.org/t5552-des-paradis-terrestres-pour-animaux-en-detresse#110799

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 10:00

karl-flieher-autriche-1881-1958.jpg

Tableau de Karl Flieher (Peintre autrichien,1881-1958)

Je vous invite à regarder cette  vidéo de notre si belle Terre :

http://www.youtube.com/watch?v=xu0T3VFS1Js&feature=em-share_video_user

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 10:01

Canal du Midi près de Colombiers Michiel 1972

                     Canal du Midi près de Colombiers

                       (Auteur Michiel 1972 -Wikipedia)

Le canal du Midi (240 km), patrimoine mondial de l’Unesco, relie la Garonne à Toulouse au port de Sète sur la mer Méditerranée. Il a été construit au 17e siècle sous la direction de l'ingénieur français Pierre-Paul Riquet. C'est sous l'Empire qu'on commence à planter des platanes, le long du canal. Mais depuis plusieurs années, les platanes du canal du Midi sont menacés d’un mal incurable. Ils sont atteints par le chancre coloré, une maladie provoquée par un champignon microscopique. Le chancre coloré bloque les canaux de sève des platanes : il les condamne ainsi à mourir par assèchement en deux à cinq ans. Il aurait été importé lors du débarquement de Provence de 1944 via les caisses de munitions américaines. Après avoir gagné le sud de la France, il a aujourd’hui remonté la vallée du Rhône et s’est étendu à d’autres pays européens comme l’Italie, la Suisse et la Grèce. Les premiers foyers ont été détectés en 2006. Il n'existe malheureusement pas de traitement efficace contre le chancre. D'ici quinze à vingt ans, les 42 000 platanes du canal du Midi devraient être abattus et remplacés soit par des frênes et des  tilleuls, soit par une variété de platane résistante au parasite.

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