Je vous présente un livre félin à souhait à garder bien précieusement dans sa bibliothèque :

Mon chat et moi, on se soigne du Dr Jean-Yves Gauchet.

La 4e de couverture : Voici le premier ouvrage du genre, à faire apparaître l'intensité des relations mutuelles entre votre chat et vous-même. Depuis qu'il s'est imposé, il y a 8 000 ans, dans les premières habitations, le chat nous a séduits par sa propreté, ses attentions, et son ronronnement, ce son mystérieux et protecteur. Inversement, pour que notre chat reste en pleine forme à nos côtés, à nous de surveiller son état, d'anticiper ses faiblesses. Mon chat et moi, on se soigne ! constitue l'ouvrage de référence pour comprendre à quel point les bons soins de l'un profitent à l'autre. Avez-vous déjà décrypté le langage de votre chat ? Combien de temps passez-vous en discussions avec lui ? Connaissez-vous les mystères du ronronnement et ses innombrables bienfaits sur votre santé ? Le chat est un thérapeute méconnu à bien des égards. Cet ouvrage vient à point pour lui rendre hommage... Il ronronne, il me calme ; il me parle, mes soucis s'envolent ; il m'apaise, il protège mon coeur, ma peau et ma jeunesse ; il m'envoûte et il me soigne... D'où viennent ses maladies et quelles sont les thérapeutiques naturelles adaptées à votre animal préféré ? Comment lui faire une beauté sans le tracasser ? Et si vous l'emmenez avec vous, quels sont les gestes à connaître, les remèdes à avoir sur soi ? Grâce à une parfaite connaissance de votre chat, il sera toute sa vie en parfaite santé. Je l'observe et je le comprends ; je le régale et je le soigne ; je le caresse et je lui parle ; je lui fais une vie de chat heureux...

Jean-Yves Gauchet, vétérinaire, mais aussi éditeur et chroniqueur scientifique, a la passion d'expliquer, de faire partager les connaissances, aussi bien avec les clients de sa clinique, qu'avec les lecteurs de sa revue Effervesciences. Depuis 2002, il a mis en lumière les effets bénéfiques de l'écoute du ronronnement, un concept thérapeutique qui a fait le tour du monde. Dans cet ouvrage, il nous explique simplement, mais précisément, tous les bienfaits que l'homme et le chat peuvent s'apporter mutuellement.

                Munchkin à poil mi-long (Wikipedia)

Le Munchkin est une race récente de chat originaire des États-Unis. Ce chat de taille moyenne à grande, au poil court ou mi-long, est caractérisé par ses pattes très courtes, comparables à celles du basset. Cette particularité serait due à une mutation génétique spontanée apparentée à l’hypochondroplasie, type de nanisme qui affecte également l’homme. En 1983, chez une éleveuse de Louisiane, une chatte noire aux pattes courtes du nom de Blackberry, donna naissance à une portée dont la moitié avait aussi les pattes raccourcies. Le nom de Munchkin vient du peuple d’humanoïdes de petite taille dans Le Magicien d'Oz. Depuis la naissance de la race, des croisements ont été effectués avec d'autres chats, cependant il est important que le Munchkin garde son type modéré et proche de l'Européen. La race n'est pas reconnue par toutes les  associations félines qui considèrent qu'il s'agit d'une maladie génétique qui ne doit pas faire l'objet d'un élevage sélectif. Seule l’International Cat Association (également connue aux USA, pour son grand nombre d'inscription de chats de gouttière, qui peuvent concourir en exposition féline) reconnaît le Munchkin comme une race à part entière. Ses pattes, qui le distinguent des autres races, sont courtes, bien musclées et solides (les postérieures sont légèrement plus hautes que les antérieures). Sa queue effilée et arrondie au bout est tenue haute et bien droite lorsqu’il se déplace. Contrairement aux bassets, le Munchkin n'est pas sujet aux problèmes de colonne vertébrale. Le Munchkin est réputé pour conserver son caractère de chaton une fois parvenu à l'âge adulte. C’est un chat joueur, actif, éveillé et très sociable, au tempérament plutôt grégaire. Il est très proche de l’humain. Ses pattes ne l'empêchent pas de courir et de vivre normalement.

                 Photo de la Cathédrale de Bourges

              (Auteur Wladyslaw Sojka -Wikipedia)

Le Berry est cher à mon coeur (je suis mi-berrichonne côté paternel...). Alors je n'ai pas loupé le beau reportage de mercredi soir dans le magazine Des racines et des ailes consacré à la "Jacques Coeur" née en 1954, (première route touristique de France) qui traverse le département du Cher, du Nord au Sud, sur près de 180 km pour mettre en valeur le patrimoine architectural et naturel du Berry ; elle réunit 16 sites, publics ou privés, autour du palais de l’illustre argentier Jacques Coeur à Bourges, des châteaux (de Menetou-Salon et de la Chapelle d'Angillon à quelques kilomètres d'Henrichemont où mes parents avaient une maison), des villes et leurs musées (Musée d'Argent sur Sauldre), et des édifices religieux (la cathédrale St Etienne à Bourges). Pour vous y balader c'est ici (Clin d'oeil au passage à ma copinaute berrichonne Marielle)

http://www.route-jacques-coeur.org/accueil.php

                                  Mon hérisson...

La fête des mamans approche. Alors je vous propose d'aller jeter un coup d'oeil attentif sur les nouveaux objets de Nicole fabriqués dans des vieux livres. Laissez-vous tenter ou par le hérisson ou par la souris ! N'hésitez pas à donner un coup de patte à l'association de Nicole et Sylvette afin qu'elle apporte toute l'aide nécessaire à des animaux en détresse :

Grâce à ma maman, j'ai lu ce livre-témoignage bouleversant à lire absolument ! En voici la quatrième de couverture : « Quand Marie comprit que son cancer ne lui laissait aucune chance, elle me dit qu’elle avait un dernier combat à mener : raconter son parcours afin qu’un jour une loi, en France, permette aux gens qui se trouvaient dans son cas de choisir leur mort. Elle entendait dénoncer certaines scandaleuses pratiques hospitalières et thérapeutiques, ainsi que l'inertie du gouvernement vis-à-vis de l'euthanasie, alors que la majorité des Français est en faveur d’une mort douce et dans la dignité.
Elle se mit à écrire de manière compulsive, dans l’urgence, car elle ne pensait pas disposer d’autant de temps. Elle se réveillait en pleine nuit pour écrire. Le matin, elle était exténuée. Pourtant, à aucun moment, elle n’a pensé arrêter d’écrire ce livre, qui sera une obsession jusqu’à la fin. Certains jours, elle était en pleurs. Je lui disais : “Laisse un peu tomber, Marie, allons nous promener tous les deux.”
Quelque part, ce récit nous a enlevé des heures si rares, si comptées… »
Bertrand Deroubaix, après la disparition de sa femme, a ajouté à ce livre quelques réflexions et un dernier chapitre, le seul que Marie ne pouvait écrire.

Marie Deroubaix est née à Paris en 1953. Elle a été styliste de mode, puis journaliste et écrivain (sous le nom de Marie de Lamare). Au bout de souffrances morales et physiques, elle a pu bénéficier en Belgique, en octobre 2011, d’une euthanasie douce et digne.

Un lien qui vous permettra d'entendre le mari de Marie :

http://www.dailymotion.com/video/xpfqvm_bertrand-deroubaix-le-mari-de-marie-deroubaix-euthanasiee-en-belgique-ma-femme-avait-toute-sa-tete-m_news