Béa Kimcat Blog
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Mon roman : LISABELLE
(mars 2008)
http://lisabelle.briot.free.fr/
Mon 2e Blog : link
http://kimcat1b58.eklablog.com/
Photo Mains bleues (Alexandre Mougeot)
Je vous propose de regarder ces jeux de mains
C'est spectaculaire, génial et grandiose.
(Merci à ma chère Cécile)
Tableau de Tracy Lizotte "Robin in nest studios"
Une scène d'une rare beauté. Au plus près d'un nid de rouge-gorge. (Merci à Marie-France)
Perdre quelqu'un d'important
C'est comme perdre une partie de soi-même
http://desmotivaciones.es/2159010/Perder-a-alguien-importante
Photo que j'ai découverte sur le blog des animaux maltraités
http://lesanimauxmaltraites.over-blog.com/
Un coup de coeur que je partage avec vous...
Photo de Martinets en vol
(Auteur Tomasz Kuran-Wikipedia)
Excellent voilier, le Martinet peut atteindre des vitesses de 140 à 150 km/h et passe sa vie entière dans les airs (4 mois/an). Il ne se trouve à terre que par accident et, bien sûr, l'été dans des anfractuosités de toutes sortes afin d'y couver. Sa vitesse en fait l'un des animaux les plus rapides. Extrêmement précis, il est capable de rejoindre son nid via un petit orifice de quelques centimètres de diamètre, apparemment sans diminuer son allure. Le Martinet noir (le plus courant dans nos contrées ; il est l'oiseau caractéristique du ciel d'été en France, en Suisse et en Belgique d’avril à aout) passe l'hiver en Afrique, principalement au sud de l'équateur, et migre à la fin du printemps. D'abord visible dans le sud de l'Europe, il gagne peu à peu l'ensemble du continent jusqu'à la Scandinavie. Le Martinet noir se nourrit du plancton aérien qu'il recueille dans les couches inférieures de la troposphère. Il capture plusieurs centaines d'espèces différentes d'arthropodes qu'il est capable de reconnaître en plein vol. Si les conditions météorologiques ne permettent pas une alimentation suffisante, le Martinet peut changer de région. Il dort en volant en groupe de façon circulaire ou au gré de courants aériens en recherchant des zones d'inversion de température à environ 1 500 mètres d'altitude. Cette espèce se distingue aisément de l'Hirondelle par son corps en forme de faucille, plus effilé et plus grand, une coloration générale bien plus foncée et, mis à part sa gorge, l'absence de zones blanches. Ils se déplacent en colonies en poussant des cris perçants. Les martinets construisent leur nid dans des anfractuosités de murs et se voient le plus souvent dans les villes et les villages. Ils sont en général fidèles à leur nid qu'ils réutilisent chaque année. Celui-ci est constitué de toutes sortes de matériaux légers recueillis au gré des vents : plumes, brins d'herbes, feuillettes et même des papillons, des demoiselles, ou des petits bouts de plastique. Le martinet est l'un des rares oiseaux qui apprennent à voler et à se nourrir sans l'aide de ses géniteurs, lesquels peuvent entamer leur migration sans attendre que leur progéniture soit autonome. Au bord de leur nid, bien agrippés avec leurs serres, ils entraînent leurs ailes en battements rapides. Cela peut durer plusieurs jours. Ils quittent le nid dès qu'ils se sentent prêts, vers les 42 jours et il semble qu'ils entament immédiatement leur première migration vers le grand Sud. Sauf exception, les jeunes passeront près de deux ans sans se poser. Malheureusement la population des martinets se raréfie surtout à cause des constructions modernes qui n'offrent plus guère de sites de nidification favorables (tours, clochers, bâtiments élevés en pierres, dessous de toit, trous entre les pierres). Sa longévité peut aller jusqu'à 21 ans.
Photo d'un guépard en course à Ree Park au Danemark
(Auteur Molene Thyssen-Wikipedia)
Je vous propose cette vidéo afin d'avoir le palmarès des animaux les plus rapides. Certaines vitesses sont impressionnantes !
Le premier volume des Bretonnismes de Hervé Lossec avait suscité l'intérêt de tous, tout âge et tout milieu social confondus, car nous employons tous, parfois sans le savoir, ces expressions pas tout à fait bretonnantes sans être vraiment françaises, mais avec une très forte origine linguistique : le bretonnisme, issus de la langue parlée et traduite mot à mot du breton. Alors voici le second volume Les Bretonnismes de retour - Le français tel qu'on le parle en Bretagne. Ces bretonnismes, contre-pied aux gallicismes, anglicismes et autres latinismes, sont une richesse à l'heure de la globalisation qui nivelle tout. Les connaître, ou même les découvrir, constitue une première étape avant d'apprendre ou réapprendre le breton ; à moins que cela ne soit pour améliorer son français...
Bianca était notre doyenne féline sur la Blogosphère…
http://kimcat1b58.over-blog.com/article-bianca-n-est-plus-104817449.html
Elle nous a quittés pour d’autres cieux le 5 mai 2012, deux petits mois avant de fêter ses 20 ans. Elle savait bien qu’un jour, il lui faudrait s’en aller et laisser derrière elle, René et Denise, ses maîtres éplorés.
Sa vie terrestre avait commencé le 4 juillet 1992. Elle était issue des amours de Duchesse et d’Athai. Elle était venue au monde avec Hermès et Olympe. Bianca, la plus fragile des 3 chatons, avait eu une première maîtresse pendant douze ans. Cette dernière, avant de décéder, avait confié sa petite protégée à René et Denise qui la connaissaient bien pour l’avoir gardée souvent, lorsqu’elle s’absentait. Bianca avait été adoptée tout naturellement par ses nouveaux humains de compagnie, 30 ans après la blanche Minouche et 17 ans après la noire Princesse, morte à 16 ans. Après l’avoir auscultée, le vétérinaire leur annonça que Bianca était cardiaque. René et Denise ne regardèrent point à la dépense pour donner les meilleurs médicaments, les soins appropriés et la nourriture adaptée à son état de santé ; quitte à se priver de jambon ou de poulet, pas bons pour elle, et que leur minette ne soit pas tentée ! Enfin, ils se relayaient pour partir en vacances, afin que Bianca n’ait pas à voyager et puisse rester bien tranquillement à demeure… Il ne fallait prendre aucun risque. Néanmoins, Bianca était une vraie Siamoise d’appartement, bien dans ses coussinets. Elle aimait les coins bien douillets et moelleux, les tapis bien doux et les canapés bien confortables. Elle était aussi très attirée par les fleurs en pot ou en vase au grand dam de sa maîtresse.
Avec beaucoup d’efforts et d’attentions, et au grand étonnement de leur « doc » (traduction véto), les années passèrent pour Bianca. Alors que rien ne laissait présager une telle longévité ! Même si Bianca incontestablement, dans sa famille féline, n’était pas la seule à jouer les prolongations ! C’était son frère Hermès, qui avait ouvert le bal dans les grands jardins de l’au-delà, en juin 2010, à près de 18 ans ; suivi de peu par sa mère Duchesse en juillet 2010, âgée de 20 ans. Puis sa sœur Olympe fut terrassée à son tour en décembre de la même année, à l’âge de 18 ans et demi…
Il ne restait donc plus qu’elle… Bianca a fini par rejoindre les siens, au Royaume Céleste des Chats. Ainsi va la vie. Car il faut bien naître et mourir…
Texte que j'ai rédigé à la demande de René, le maître de Bianca http://ezlnantes.over-blog.com/
Illustrations Bertrand de Miollis
Editions des Equateurs Parallèles
J'ai découvert le livre de cet auteur grâce à ma fille qui a l'âme voyageuse (souvenez-vous son tour du monde d'un an, à suivre dans ma catégorie Voyages et balades). Sylvain Tesson né en 1972, est un grand voyageur. L'escaladeur de cathédrales et d'autres monuments (Notre Dame de Paris, le Mont Saint Michel...), surnommé le Prince des Chats au sein d'un cercle d'acobates, a effectué un tour du monde à bicyclette, traversé l'Himalaya à pied, les Steppes de l'Asie Centrale à cheval. Il voyage par ses propres moyens. En 2010, il a passé 6 mois dans une cabane, seul en ermite, sur les bords du lac Baïkal au sud de la Sibérie. Il a obtenu le Prix Goncourt de la Nouvelle en 2009 pour Une vie à coucher et le Prix Médicis Essai en 2011 pour Dans les forêts de Sibérie. Dans ses Aphorismes dans les herbes et autres propos dans la nuit, on peut y lire des petites phrases perles drôles et astucieuses :
Comme celles-ci :
L'avion, c'est du vol.
Village : cent domiciles fices
Je tiens mon journal de peur qu'il ne s'échappe.
Livres : il s'en passe de belles sous les couvertures.
Il y a beaucoup de réponses qui sont hors de question.
A noter que l’aphorisme, du grec aphorismos (« définir, délimiter ») est un énoncé autosuffisant. Il peut être lu, compris, interprété sans faire appel à un autre texte. Un aphorisme est une pensée qui autorise et provoque d'autres pensées, qui fraye un sentier vers de nouvelles perceptions et conceptions. Il ne doit pas être confondu avec le proverbe ou la maxime, même s'il leur ressemble beaucoup.
Tableau de Danielle Richard "Poesie"
http://www.daniellerichard.com/
En ce début de semaine, je vous informe que ma messagerie est bloquée. Je ne peux donc ni consulter ma boîte, ni répondre aux courriels... Pas franchement drôle ! Car ma boîte de réception est souvent pleine à craquer ! J'attends que mon informaticien vienne me dépanner... Vous qui passez par ici et qui avez l'habitude de m'adresser des messages, ne m'envoyez plus rien jusqu'à mon feu vert après rétablissement de mon compte Messenger ou bien après création d'une nouvelle adresse. Merci ! Bon lundi soir à vous tous. De mon côté, le soleil brille et je vais profiter de mon jardin bien fleuri...
Photos de cygnons noirs
(Auteur Emmanuel Decruynaere- Wikipedia)
Une galerie de belles photos souvenirs à regarder ici :
http://www.zoovenirs.fr/jscripts/gallery2/main.php?g2_itemId=14335
Au parc zoologique de Plaisance-du-Touch (31) sont nés dernièrement un petit jaguar et un bébé tigre. Deux naissances qui viennent compléter la venue au monde de deux élans du cap, d'un tapir, de cinq wallabies toujours dans leur poche, d'un émeu, de deux cygnes noirs, de plusieurs antilopes, d'un oryx et d'un dromadaire qui sortira bientôt de sa tanière… A lire ici :
http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/06/1346803-le-zoo-bichonne-ses-bebes.html#xtor=EPR-1
